Les trastes a la tête
Monsieur le Fiscal General de L´Etat, imputé par le Tribunale Supréme d´un grave delite. L´affaire «Koldo» convertí en l´affaire Pierre, le exministre Ábalois, decidé a solter la langue
Aujourd´hui, cette matin, je avais la fortune de ouvrir les oeils avec optimisme. Me estiré en la lit, he bostecé, he crier doubadoubadou, el finalment, quand mon valet Jacques m´a serví le dejeneur, apoyé sur l'oreiller he comancé la lecture de les notíces. ¡Quelle suprís!
Monsieur le Fiscal General de L´Etat, imputé par le Tribunale Supréme d´un grave delite. L´affaire «Koldo» convertí en l´affaire Pierre, le exministre Ábalois, decidé a solter la langue.
La Moncló converté en une maison de fous, avec Pierre y Begogne dediqués al lancement de trastes a la tête de l´autre, les tasses de café volatíles, les coucharettes volátiles, le bol de la sucre volátil, le brioche volátil, zum, zam, pum, pan, ¡Tout par ton culpabilité! ¡Non, mon petit idiote, cest a toi ¡ Un spectacle epouvantable, une mariage cassé, l, amour mort, et la colére present. ¡Au secours! – Bolagnes, parle inmediatment avec Marlasque et mandes-nous a la Police pour la detention de ma epouse, et aprovechand que le Pisuergue pas par Valladolid, m´e prepares les papiers de le divorce. – Toujours a ta coté, mon cherí et admiré president de ma vie- Merci, Bolagnes, mais vite, vite, vite, a toute pastille.
- Pierre, mon pierrot, mon pierrot gourmand, je suis desolé.
- E moi aussi, ma cheri epouse.
- Pierrot, merci a moi, toi ha conseguí la distintion e la elegánce.
- Non, ma petite colombe. Vous non avais pas ni pute idée de la distintion et la elegánce. Les Thermes et saunas pour les mariques, no sont fondamentales. Ma elegánce est naturel.
- Pierrot, je crois que notre divorce est imposible.
- ¿Imposible?
- Oui, mon núnero «1», l´homme de ma vie, mon lion sauvage. Toi et moi nous avons une propieté a pachás dans l´ile de Saint Dimanche, a coté de le petit palace de Rodrigues-Cordonnier.
- La propieté est a nom de mon frére, David, le gran compositeur, musique y directeur de la Filarmonique de Badajós.
- ¡Mon Dieu!
- D, acorde. David m´a advertí, que pendant trois o quatre ans, será notre «okupe».
- ¡Pierre. Jamais , jamais! Notre grand chalet de Saint Dimanche est notre, et seulment notre. Ton frére est un sansvergogne. Qué fairons a partir de maintenant?
- Le divorce, mon bijoux, ma petite bracelet de Cartier. Vous a votres thermes de mariques, et moi au Palais Royal de Madrid, apres le coup d´Estat. Je serais dans le future, Sa majesté le Roi Pierre le Premiére de la Federation de Territoires de Espagne, et pour la Histoire, «Pierre le Premiére, le Resistant». Begogne, je lo sent de tout coeur. Abandone inmediatment La Moncló. Avec toi, en ton compagnie, m´aburre plus que entre bevís et moutons. Alez, allez, Begogne, que le taxi est a point de arriver. La Moncló, ¡toute pour moi!
- Pierre, permitte-moi que t´apelle tonton de le cul.
- Et toi, cognace infinite.
- Et toi, chule de boliéres.
- Et toi, catedratique de brome.
- Et toi, hortére de la tête a les pieds pasand par les paquet.
¡Majesté, le taxi est arrivé!
- Begogne, au revoir.
- Pierre…
- Begogne, le prochaine Roi Pierre le Premiere no permetterá la corruption en Espagne. ¡Adieu!
- Mameluque, Sapristí.
- Adieu, Begogne. A vivre, que sont deux jours.
Une belle histoire d'amour a point de irse par la borde.
¡Quelle domage!
¡ Toutes a prison, comme Papillon!
Par la exclusive.